26-04-13
Ce 1er Mai 2013,
Jour International des Travailleurs
Honneur et hommage aux masses révolutionnaires anti-impérialistes syriennes, massacrées par le génocide Al Assad, au compte de l'impérialisme yankee et du sionisme!
La gauche d'Obama soutient Al Assad, encercle la révolution, et calomnie les masses syriennes, comme le stalinisme faisait dans les années '30 avec les milices ouvrières et paysannes espagnoles
Hors les mains du Forum Social Mondial et tout le réformisme de la classe ouvrière!
"Pour que le prolétariat vive, l'impérialisme doit mourir "
A bas le "Socialisme du XXIe siècle" des nouveaux mandarins rouges du PC Chinois et la "révolution bolivarienne" des bourgeoisies natives, tous servants de Wall Street!
Vive la Révolution Ouvrière et Socialiste Mondial!
Pour la refondation de la IVe Internationale!
Ce 1er Mai, les ouvriers internationalistes du monde, nous rendons hommage à l’héroïque révolution des masses syriennes et libyennes, et de tout le Nord de l'Afrique et du Moyen-Orient. En Syrie et en Libye nous rendons hommage à la classe ouvrière et aux exploités qui ont été souillés et calomniés par les directions de la gauche réformiste mondiale. Là, la classe ouvrière et les exploités ont défié le pouvoir de l'impérialisme et de la bourgeoisie en s'armant et en s’insurgeant, luttant pour le pain et la liberté. En Libye les masses armées ont démoli l'état bourgeois et elles ont même exécuté Kadhafi, le chien de l'impérialisme; et en Syrie la révolution trahie et ensanglantée vit encore aujourd'hui et résiste à la furie effrénée des exploiteurs qui ont joué toutes leurs forces pour écraser la révolution.
Ces chaînons d'une même chaîne de révolutions au Nord de l'Afrique et du Moyen-Orient sont les plus grandes révolutions ouvrières et anti-impérialistes de la classe ouvrière mondiale des dernières décennies, où ils ont même fait brûler les ambassades yankees et françaises; et cette geste héroïque la gauche mondiale la calomnie en appelant "troupes terrestres de l'OTAN" les milices ouvrières et populaires libyennes et en traitant les masses martyrisées de la Syrie comme des "agents de l'impérialisme". Aujourd'hui tous les ouvriers du monde doivent savoir que le Forum Social Mondial joue le rôle du stalinisme dans les années ‘30 pendant la Guerre Civile espagnole, en calomniant et en tirant dans le dos des masses révolutionnaires, et en sauvant les intérêts des capitalistes.
Al Assad, au compte de l'impérialisme et soutenu par la Russie, la Chine, la bourgeoisie iranienne, Hezbollah et le Forum Social Mondial, il se joue à écraser les masses, tandis que l'Armée Syrie Libre (ASL) dirigée par des généraux qui avaient été avec Al Assad, les désarme et le livre. De cette façon Al Assad et l'ASL, comme agents différents d'Obama, soignent les propriétés et les intérêts aux parasites de Wall Street, et les frontières au sionisme génocide pour que les masses palestiniennes, l'avant-garde de la lutte anti-impérialiste au Moyen-Orient, ne fassent pas irruption.
De la Tunisie à l’Israël, et depuis l'invasion impérialiste française au Mali, le capital financier meut toutes les pièces pour écraser la révolution en Syrie et pour essayer de mettre une fin à la révolution au Maghreb Arabe et au Moyen-Orient. Pour cela, Obama maintient discipliné à son agent sioniste, qui est resté affaibli par l'irruption de masses et ses frontières se maintiennent debout seulement grâce à la bourgeoisie de la région. C'est parce que Wall Street a défini que le travail sale soit fait par Al Assad et la bourgeoisie canaille iranienne des Ayatollahs, qui se sont déjà prouvés en soutenant le protectorat yankee en Irak.
Avec 2 ans de génocide et de terre rasée, le danger consiste à la désintégration de l'armée d'Al Assad, et que la résistance syrienne s'embranche avec le soulèvement des exploités au Liban qui a déjà commencé, puisque les deux ont l'état sioniste - fasciste d'Israël comme ennemi en commun.
L'ASL est là pour contrôler les masses et pour garantir une transition ordonnée et une sortie pactée d'Al Assad. Le danger est que cette situation soit prise comme un triomphe de la révolution par les masses et qu’elles avancent à terminer de démolir toutes les machines de l'état bourgeois, comme cela s’est passé en Libye.
On ne peut pas douter que devant cette scène l'impérialisme se verra obligé d'intervenir directement pour écraser la révolution. De cela s’agissent les "dénonciations" du sionisme sur les "armes chimiques", puisqu´il a terreur que celles-ci tombent dans les mains des masses révolutionnaires. L'impérialisme comprend ce danger, c’est pour cela que, sous prétexte de lutter pour la Djihad, depuis Qatar et l'Arabie Saoudite il a envoyé la bourgeoisie islamique du Jabhat au-Nusra, pour contenir les secteurs des masses qui rompent avec l'ASL.
La révolution au Nord de l'Afrique et au Moyen-Orient, ne laisse pas l'impérialisme en paix, puisque c’est là où les masses sont arrivées plus loin, et c'est là où l'impérialisme concentre toutes ses forces contre-révolutionnaires.
Ce 1er Mai les trotskistes et les ouvriers révolutionnaires dans tout le monde nous combattons et mourons dans les rues d'Alep, de Homs, de Deraa et de Damas avec nos martyrs de Chicago d'aujourd'hui, c’est à eux que nous faisons honneur et rendons hommage. Nous levons leur drapeau de lutte, en appelant à la classe ouvrière mondiale à briser l’encerclement contre les masses syriennes; tandis que le Forum Social Mondial pleure et rend hommage aux bourreaux de la classe ouvrière comme Kadhafi, Chavez et les ambassadeurs des pirates impérialistes.
"… je meurs heureux, parce que je suis sûr que les centaines d'ouvriers à qui j'ai parlé rappelleront mes mots, et quand nous aurons été pendus ils feront éclater la bombe. Dans cette espérance je vous dis : Je vous méprise; je méprise votre ordre, vos lois, votre force, votre autorité. PENDEZ-MOI!" (Luis Lingg, Martyr de Chicago, derniers mots devant le tribunal bourgeois qui l'a condamné à mort).
Le 1er Mai, jour international de la lutte des travailleurs, forgé par des martyrs héroïques du prolétariat et des luttes puissantes internationales, nous trouve, nous, les ouvriers du monde en ce 2013 en résistant à une offensive brutale de l'impérialisme.
Des massacres contre les travailleurs, une redoublée super-exploitation et une attaque sur les conquêtes ouvrières, le pillage du monde, des génocides comme en Syrie, des invasions impérialistes comme au Mali, des massacres contre les ouvriers et les paysans en Chine aux mains du PC, l'avancement de la restauration capitaliste au Cuba et une attaque redoublée contre les travailleurs en Europe, au Japon et aux Etats-Unis., ce sont les bornes de l'actuelle offensive impérialiste.
Cependant, ce 1er Mai les trotskistes internationalistes nous voulons affirmer que, en premier lieu, ce système impérialiste décrépit ne se maintient pas debout grâce à sa vigueur et sa propre force. Il continue sur pied en poussant les masses travailleuses à la barbarie pour garantir les super-profits d'un petit groupe de parasites, seulement parce qu'il compte sur le soutien des directions réformistes de la classe ouvrière mondiale qui détruisent à chaque pas ce que les masses construisent avec leur lutte. Si aujourd'hui les travailleurs du monde nous subissons des pénuries inouïes, c’est parce que le réformisme a empêché que la classe ouvrière triomphe dans ses combats internationaux en se faisant du pouvoir, en démolissant les états bourgeois et en écrasant l'impérialisme.
Dès les coins de l'histoire, les mots courageux des Martyrs de Chicago continuent à retentir "... si vous croyez qu'en nous pendant vous pouvez contenir le mouvement ouvrier, ce mouvement constant dans lequel s'agitent les millions d'hommes qui vivent dans la misère, les esclaves du salaire; si vous espérez le salut et vous y croyez: pendez-nous ...! Ici vous vous trouvez sur un volcan, et là-bas, et dessous et au côté et partout la Révolution fermente." (Augusto Spies)
C’est qu’il n'y a pas de solution possible aux épreuves et aux souffrances des masses sans le triomphe de la révolution socialiste internationale, sans exproprier et sans écraser cette poignée de 600 parasites gérants des transnationales qu'à travers de 140 grandes compagnies contrôlent, exploitent et pillent le monde. Il n'y a pas de solution sans le triomphe de la révolution socialiste, en premier lieu aux États-Unis, la principale puissance impérialiste. C'est ce qu'ils cachent et étouffent, les directions du Forum Social Mondial et ses servants.
Aujourd'hui nous devons dire que les "Martyrs de Chicago" du présent sont les milliers et milliers d'ouvriers et de lutteurs emprisonnés dans les prisons des états capitalistes, dans leurs camps de concentration et leurs enclaves militaires; pour cela ce 1er Mai nous avons besoin d'une Journée Internationale d'Action et de Lutte pour gagner les rues et pour arracher des prisons nos frères de classe. Ce 1er Mai le cri de la classe ouvrière mondiale pour honorer les martyrs de Chicago doit être : libérez tous les prisonniers politiques de l'impérialisme, les transnationales et leurs gouvernements laquais!
Liberté pour les dizaines de milliers de prisonniers dans les prisons d'Al Assad!
Liberté immédiate pour les milliers de prisonniers palestiniens du sionisme!
Liberté pour les ouvriers de Suzuki emprisonnés en Inde! Liberté pour les lutteurs anti-impérialistes emprisonnés dans Guantánamo et les prisons secrètes de la CIA dans le monde!
Liberté pour les prisonniers politiques en Argentine et la fin des accusations contre travailleurs pétroliers de Las Heras et contre les plus de 6500 lutteurs ouvriers, populaires et dirigeants socialistes!
Ce 1er Mai 2013 : Les ouvriers du monde nous payons les trahisons du FSM, des stalinistes et des renégats du trotskisme
"Tout dépend du prolétariat, c'est-à-dire au premier lieu de son avant-garde révolutionnaire. La crise historique de l'humanité se réduit à la crise de la direction révolutionnaire" (Programme de Transition, de 1938).
Le réformisme a dû se centraliser au niveau mondial sous le commandement du capital financier, parce qu'en 2011 le combat révolutionnaire des masses a mis en échec à la bourgeoisie. Les actions et le programme comme jalons du socialisme que les masses ont mis sur pied, ont tracé un angle opposé au programme de ses directions et c’est cela ce qui a permis que le monde soit ému par une irruption généralisée qui a menacé de synchroniser la révolution du monde colonial et semi colonial, avec l'ouverture de la révolution dans les pays impérialistes, question qui aurait changé l'histoire.
La bourgeoisie s’est terrorisée avec les actions de masses qui ont démoli des états bourgeois comme en Libye et ont exécuté Kadhafi, l'état sioniste fasciste d'Israël est entré dans une crise totale encerclé par la révolution; l'Europe s'est remplie des grèves générales, des occupations d’usines et de barricades; en Chine et en Inde les ouvriers occupaient des usines avec les patrons comme otages et dans beaucoup de cas ils ont fait rouler la tête des exploiteurs; les indignés de Wall Street ont encerclé le capital financier et ont coordonné des actions avec les travailleurs portuaires de l'Égypte; au sud de l'Afrique les mineurs ont coordonné leurs luttes contre les transnationales; en Amérique latine les ouvriers et les paysans en Bolivie faisaient irruption contre Evo Morales et l'escroquerie de "révolution bolivarienne".
Dans ces combats le monde a vibré : "Le 1 % de parasites de Wall Street vole le monde! Luttons comme en Égypte!", affirmaient le mouvement "Ocuppy Wall Street" et les exploités à l'intérieur des Etats-Unis; "Étincelle à Athènes, incendie à Paris, c’est l'insurrection qui vient!" proclamaient les masses grecques; "Nos rêves n’entrent pas dans vos urnes ! Vive la République des indignés! Si nos enfants subissent de la faim, les vôtres verseront du sang! Si cela ne s'arrange pas, guerre, guerre, guerre!" motionnaient les jeunes, les mineurs et les travailleurs de l'État Espagnol; "Nationalisation sans paiement et sous contrôle ouvrier de l’industrie du cuivre pour conquérir le salaire digne et l'éducation publique" levaient les étudiants chiliens; "Vous nous donnez une augmentation de salaire ou nous tuons les gérants!" ont dit les mineurs de Marikana, de l'Afrique du Sud; "Du pain, du travail, de la liberté, à bas le régime!" "L'Amérique du Nord, l'OTAN, Hezbollah et Al Assad soignent les frontières au sionisme! Dehors l'impérialisme! Aujourd'hui la Libye, demain Wall Street!" s'écoutait dans la chaîne d'insurrections et de révolutions ouvrières et socialistes au Nord de l'Afrique et au Moyen-Orient.
La tendance de la classe ouvrière dans sa lutte était d'unifier ses forces par dessus les frontières, la tendance était à l'internationalisme prolétarien, en reprenant les meilleures traditions du prolétariat dans ses 1er Mai.
Contre le triomphe de ces combats et pour contrôler et pour liquider les processus de radicalisation de masses, se sont centralisés, au échelon mondial, les stalinistes de toute allure, les bureaucraties et les aristocraties ouvrières dans leurs variantes, les partis de la "gauche" socialimpérialiste déguisés en "anticapitalistes" et les renégats du trotskisme, dans leurs "Congrès", "Conférences", "Rencontres" et réunions comme celles du Forum Social Mondial en Tunisie pendant le mois de mars, pour empêcher que la classe ouvrière prenne le pouvoir au Nord de l'Afrique et au Moyen-Orient et que la révolution ouvrière et socialiste commence dans une série de pays impérialistes.
Les directions du Forum Social Mondial sont celles des trêves et de pactes avec la bourgeoisie. Un club de citrons pressés dont l'impérialisme a tiré tout le jus pour faire reculer les masses qu'attaquaient l'impérialisme et ses gouvernements cipayes.
Avec ses recettes de que la bourgeoisie "modère l'ajustement" en Europe et aux Etats-Unis, avec sa politique de "socialisme par la route pacifique" comme Syriza en Grèce, son soutien aux bourgeoisies natives pro-impérialistes comme les bolivariennes en Amérique latine ou celles du Moyen-Orient, en divisant et en encerclant la classe ouvrière mondiale pays par pays, en accusant les ouvriers et les paysans révolutionnaires de la Libye et de la Syrie d'être des "troupes de l'OTAN"; c'est le réformisme celui qui a accompli la tâche d’attacher les mains des masses et de détacher celles d’un impérialisme encerclé par la révolution et le krach, pour que celui-ci passe à la contre-offensive contre les masses.
C'est en Grèce où les courants socialimpérialistes ont joué tout leur rôle pour empêcher que la révolution soit ouverte dans le continent européen; d'abord ils ont soutenu le PC grec qui a sauvé le parlement de la rage des masses, et après ils ont soutenu Syriza qui promettait qu'avec les élections et par la "route pacifique" on allait battre les banquiers. Aujourd’hui cette politique se paie avec l'avancement du fascisme et ses bandes qui ont levé la tête en battant les ouvriers et leurs frères de classe immigrés, et avec la décadence brutale de l'économie grecque et des conquêtes des travailleurs.
Ce 1er Mai 2013, la classe ouvrière est restée encerclée pays par pays et en souffrant l'attaque de la bourgeoisie. Pour consolider cette situation le Forum Social Mondial vient de se réunir en Tunisie – forum qui a commencé avec un hommage au dirigeant de la bourgeoisie Chavez - et ses réunions "ad hoc" des rencontres syndicales "combatives" qui n’ont pas dit mot du génocide en Syrie, de l'invasion impérialiste au Mali et la restauration capitaliste au Cuba. On pouvait s’y attendre : l’impérialisme décadent et son attaque brutale se soutiennent sur les épaules des directions réformistes du prolétariat.
Le réformisme soumet les masses à une décadence capitaliste sans limites, d'une misère de plus en plus croissante. 1000 millions de travailleurs ont été expulsés du processus productif ou n’a même pas pu y entrer une fois. Un exemple ce sont les indices du propre gouvernement de New York qui affirme que dans cette ville, qui est le centre financier du monde, la moitié de la population vit au-dessous des niveaux de misère. Ceux qui se sont soulevés contre cette situation comme le mouvement "Ocuppy Wall Street", le castrisme restaurateur les a empoché en amenant ses dirigeants à La Havane à recevoir des cours sur comment ne pas battre le capitalisme, en annonçant le programme de "distribuer la richesse" et de ne pas exproprier les expropriateurs.
Le réformisme s’est centralisé pour faire reculer la révolution socialiste mondiale et soutenir le capitalisme. Ils ont empêché que la classe ouvrière prenne le pouvoir et aujourd'hui nous payons les conséquences. Dehors les mains du réformisme de la classe ouvrière, de ses organisations et de sa lutte! Avec ces directions on ne peut plus lutter! Pour préparer une contre-offensive de masses à l’échelon mondial, il faut regrouper les forces révolutionnaires de la classe ouvrière! Il faut refonder la IVe Internationale!
1er Mai 2013 : ne permettons pas que ceux qui ont encerclé la révolution, qui ont divisé pays par pays le prolétariat et qui soutiennent le capitalisme en putréfaction tentent de se camoufler en parlant "d’unité, de lutte et de socialisme"
Les ouvriers et les jeunes conscients qui cherchons un chemin révolutionnaire, ce 1er Mai 2013 nous devons faire honneur aux Martyrs de Chicago de 1886. 127 ans après, le monde s'est peuplé de "Martyrs de Chicago" de la classe ouvrière. Aujourd'hui nous subissons une pire super-exploitation et des massacres supérieurs. Mais ce que nous subissons le plus à présent, et que les ouvriers et dirigeants internationalistes de Chicago de 1886 n'ont pas eu, sont les directions traîtres de la classe ouvrière qui à chaque pas nous livrent à la bourgeoisie. C'est le pire cancer qu’ont les travailleurs du monde!
Pour cela les trotskistes, ce 1er Mai 2013 nous voulons collaborer avec la classe ouvrière mondiale en leur marquant ses alliés, ses ennemis et fondamentalement les directions réformistes qui nous trahissent à chaque pas. Sans battre l'actuelle direction de la classe ouvrière mondiale, dans toutes ses variantes, nous ne pourrons pas répondre à l'attaque impérialiste et préparer les conditions de la victoire.
Ce 1er Mai 2013 :
Ceux qui ont calomnié les masses syriennes et ont encerclé la révolution du Nord de l'Afrique et du Moyen-Orient ne peuvent pas parler au nom des travailleurs
Le réformisme a laissé les mains libres à l'agent de l'impérialisme Al Assad pour qu'il impose un génocide brutal en Syrie. Ce sont ceux qui se sont réunis dans le FSM il y a quelques semaines pour soutenir les gouvernements de transition et leurs pièges "démocratiques" en Tunisie, en Libye et en Égypte, et taire le massacre contre les masses syriennes. Ainsi, ils ont laissé les mains libres à Al Assad pour qu’il finisse d’écraser la révolution en Syrie. Ils ont été Castro et Chávez, au nom du FSM, qui ont appelé les masses, d'abord à soutenir Kadhafi en Libye et ensuite Al Assad en Syrie, et à voter pour Obama dans les dernières élections étatsuniennes. Ils ont été les responsables de convaincre la classe ouvrière des États-Unis que ses amis sont Obama, Kadhafi et Al Assad, et non les masses révolutionnaires du Maghreb et du Moyen-Orient. Ce sont ceux qui parlaient d'un "printemps arabe" de la main des bourgeoisies "démocratiques", et ce qu’on vit aujourd'hui en Syrie c’est un enfer contre les masses. Tout le Forum Social Mondial et ses "ailes gauches" soutiennent la politique de "deux états" avec laquelle l'impérialisme condamne les masses palestiniennes aux camps de concentration à ciel ouvert de Gaza et de Cisjordanie, et soutiennent l'état sioniste fasciste d'Israël au milieu de la plus grande crise de son histoire, encerclé par la révolution.
Les gouvernements que le FSM soutient sont ceux de l'Égypte et de la Tunisie avec leurs élections parlementaires et leurs assemblées constituantes frauduleuses. Aujourd'hui ces gouvernements "transitionnels" garants de la "démocratie" montrent son vrai visage : les officiers de l'armée égyptienne baignent dans le sang les masses encore plus que Moubarak, et le gouvernement de l'Enhada en Tunisie avec des bandes contre-révolutionnaires -nourries par le mouvement salafiste- tue des dirigeants de gauche et attaque les organisations ouvrières.
Le FSM soutient Ahmadinejad de l'Iran qui, avec sa Garde Républicaine, a mobilisé 30.000 hommes pour massacrer les masses en Syrie et pour soutenir l'armée assassine de son ami Al Assad. Tous les laquais qui disaient que l'Iran "s’affronte à l'impérialisme", ont à avaler leurs affirmations. Dans sa dernière visite à l'état d'Israël, Obama a été clair en disant à Netanyahu de ne pas faire d'aventure militaire, de ne pas toucher à l'Iran puisque c'est un dispositif clé contre la révolution dans la région. Il est clair que les vraies "troupes de l'OTAN" en Syrie sont celles de la Garde Républicaine des ayatollahs iraniens avec les troupes d'occupation d'Al Assad.
Dans cette réunion du FSM n'ont pas été absents ceux qui ont voulu poser à "la gauche", comme les renégats du trotskisme de l'UIT-CI et la dénommée "gauche syrienne" qui ont publié un appel international en solidarité avec la Syrie, où ils n’appellent même pas à battre l’encerclement, à écraser le génocide d'Al Assad, à exproprier l'impérialisme et la bourgeoisie. Il s’agit de la "gauche" du FSM qui a été en séance avec les organisations pro Al Assad, et qui dans son appel de "soutien à la Syrie" couvre le dos à l'Armée Syrie Libre qui s’est montée sur la résistance pour empêcher la classe ouvrière d’exproprier la bourgeoisie et l'impérialisme pour gagner la guerre. Le rôle de l’ASL est d'essayer de garantir une transition "ordonnée" de sortie d'Al Assad sans que les masses n’agissent directement, les armes dans la main, en reprenant le chemin de la révolution. Le rôle que l'ASL doit accomplir pour garantir la "transition" est de terminer de désarmer et contrôler les masses. Et des viscères de son haut commandement surgira, sans doute, le prochain Al Assad pour baigner dans le sang la révolution.
Ce 1er Mai nous appelons la classe ouvrière mondiale à lutter à côté des masses syriennes : il faut battre le génocide d'Al Assad au compte de l'impérialisme et avec le soutien direct de la bourgeoisie iranienne et de Hezbollah! Brisons l’encerclement international contre les masses syriennes massacrées!
Il faut des brigades internationales des organisations ouvrières pour emmener des aliments, des approvisionnements, des médicaments, des vêtements et des armes à la résistance! Des mobilisations, des piquets, du boycott des machines de guerre et des grèves en Europe et aux États-Unis pour battre le génocide en Syrie! Pour le retour de la révolution ouvrière et populaire dans les rues en Tunisie, en Libye et en Égypte! A bas le Mur de Rafah soutenu par les Frères Musulmans et les officiers de l'armée moubarakiste égyptienne pour soutenir l'état d'Israël! Pour la destruction de l'état sioniste fasciste d'Israël! Voila les forces en Syrie pour battre le génocide avec l’expropriation sans paiement et sous le contrôle ouvrier de tous les biens de l'impérialisme et de la bourgeoisie native! Toutes les forces aux Comités de Coordination avec de la démocratie ouvrière! Pour l’armement généralisé de la classe ouvrière et les exploités! Les armes dans notre pouvoir ne seront pas livrées! Pour une direction prolétarienne de la guerre pour écraser Al Assad, l'agent de l'impérialisme! Pour un gouvernement ouvrier et des paysans pauvres basé sur les comités de coordination et des comités ouvriers armés avec de la démocratie directe ! Dehors l'impérialisme et l'OTAN! Dehors l'ASL et ses généraux qui empêchent que les masses exproprient toute la bourgeoisie!
Une seule classe, une même révolution! Pour une Fédération de Républiques Ouvrières et Socialistes de tout le Nord de l'Afrique et du Moyen-Orient!
Ce 1er Mai 2013 :
Ils ne peuvent pas parler "d’unité et de solidarité entre les travailleurs" les supposés "anticapitalistes" qui sont des vrais serviteurs de leurs propres impérialismes
Comme le dénommé "Nouveau Parti Anticapitaliste" de la France, qui a encerclé les occupations des usines dont les ouvriers ont été en tête de la réponse à la crise et l'attaque des capitalistes en 2009. Ce même parti, avec son dirigeant Besancenot, a voyagé la même année en Guadeloupe (une colonie française) où les masses étaient soulevées à dire que "les travailleurs français ne pouvaient pas payer avec une augmentation d'impôts les demandes salariales des exploités de l'île". Aujourd'hui dans ses Congrès Internationaux avec Conlutas du Brésil dirigée par la LIT-CI, ils taisent le génocide en Syrie et en plus ils cachent que l'impérialisme français envahit et massacre au Mali …"Des anticapitalistes" ? Pas du tout! Ils sont des socialimpérialistes! Nous appelons les ouvriers français qui résistent l'attaque du "socialiste" Hollande et la Ve République Française à lutter pour l’échec et l’expulsion des troupes assassines de l'impérialisme français du Mali et pour l'expulsion de toutes ses bases militaires dans le continent! Pour le boycott des machines de guerre! Pour l’expropriation sans paiement et sous le contrôle ouvrier de l'impérialisme au Mali, en Afrique et dans tout le monde!
Ce 1er Mai 2013 :
Ils ne pourront pas parler "d’unité, de lutte et de socialisme" ceux qui sont devenus la "gauche d'Obama"
Le réformisme a soumis le prolétariat étasunien à Obama, ce Bush taché de noir, sous le programme de "Tous contre la droite et le Tea Party", c'est-à-dire… tous avec Obama. De cette manière, ils ont liquidé le mouvement anti-guerre à l'intérieur des États-Unis, le mouvement des ouvriers immigrés et le mouvement Ocuppy Wall Street. Ils sont l'AFL-CIO, le castrisme et les renégats du trotskisme dans toutes ses variantes.
Ce 1er Mai. ils ne pourront pas parler "d’unité, de lutte et de socialisme" ceux qui ont soumis le secteur le plus combatif des ouvriers et de paysans latino-américains à la bourgeoisie "Bolivarienne" aussi pro-impérialiste que celle du TLC. La gauche réformiste qui appelait hier à voter pour Chavez et pour Evo Morales, les expropriateurs de la révolution ouvrière et paysanne dans le continent, continuent aujourd'hui dans un "front démocratique" avec Obama et la bourgeoisie en couvrant les dos aux bolivariens. Au Venezuela ils soutiennent Maduro et la caste d’officiers des forces armées contre le "fasciste Capriles", quand tout les deux sont des agents d'Obama et des transnationales, et des garants de la Constitution bolivarienne avec laquelle on livre le Venezuela à l'impérialisme et les yankees.
Ce 1er Mai, nous ne pouvons pas permettre qu'ils parlent "d’unité, de lutte et de socialisme" ceux qui comme le PSTU-LIT viennent de signer des actes de reddition avec le patronat en disant que se rendre "c’était la seule chose possible" comme ils l’ont fait avec les ouvriers de General Motors à San José dos Campos au Brésil, en laissant passer des licenciements, des réductions salariales et en garantissant les affaires de cette transnationale de l’industrie automobile, comme hier l'AFL-CIO le faisait aux États-Unis.
Ce 1er Mai, nous ne pouvons pas permettre qu'ils parlent "d’unité, de lutte et de socialisme" ceux qui comme le POR de la Bolivie et son "Front Révolutionnaire Anti-impérialiste" de collaboration de classes, avec le reste de la gauche réformiste ils soutiennent la bureaucratie de la COB qui à la fois soutient Evo Morales et son pacte avec la Media Luna fasciste. Des courants comme la LOR-PTS ou la LIT sont dans un front politique avec la bureaucratie traître de Solares dans la COB et son PT qui est né pour faire tomber dans le piège électoral les milliers d'ouvriers et de paysans pauvres qui ont commencé à rompre avec et à faire face au gouvernement d'Evo Morales.
Ce 1er Mai, nous ne pouvons pas permettre qu'elle parle "d’unité, de lutte et de socialisme" la gauche réformiste qui en Argentine s'est refusée à chaque moment à unifier, à coordonner et à centraliser le secteur le plus combatif de la classe ouvrière et de la jeunesse qu’elle a soumis secteur par secteur au Ministère de Travail, aux "corps organiques" de la bureaucratie syndicale et des syndicats étatisés, ou à a justice des capitalistes à la recherche de "juges démocratiques".
Le FIT (Front de Gauche et des Travailleurs) et ses alliés ont appliqué cette politique implacablement, tandis que le gouvernement de Cristina Kirchner et l'opposition "gorille" déchargent une attaque sans précédents contre les exploités avec des augmentations d’impôts et de tarifs, une dévaluation, des massacres et la répression la plus sauvage et la prison contre la classe ouvrière avec des prisonniers politiques et plus de 6500 lutteurs accusés, en imposant le pillage de la nation le plus grand de son histoire.
Dans l’Amérique latine des "bolivariens", il s'est imposé un "ALCA" de pillage et d'exploitation dont même pas Bush aurait rêvé. Sans le rôle des renégats du trotskisme qui dans leurs congrès internationaux comme l'ELAC et le CONCLAT ont soumis le secteur le plus combatif du prolétariat à la politique de pression sur la bourgeoisie bolivarienne dans les cadres de ses régimes infâmes, nous ne subirions pas aujourd'hui une telle offensive contre les travailleurs.
Ce 1er Mai, les ouvriers nous devons dire : Dehors Obama, l'impérialisme et les transnationales! Il faut exproprier les expropriateurs! Dehors toutes les bases militaires impérialistes! Ni TLC, ni ALBA, ni MERCOSUR des transnationales! Dehors la révolution bolivarienne! Pour les États-Unis Socialistes de l'Amérique du Nord! Pour les États-Unis Socialistes de l'Amérique Centrale et du Sud!
Ce 1er Mai 2013 : ils ne pourront pas parler "d’unité, de lutte et de socialisme"
Ceux qui couvrent les dos aux frères Castro qui restaurent le capitalisme au Cuba, comme hier l’a fait le stalinisme en 1989 avec l'URSS, l'Est européen et la Chine.
À bas le "socialisme de marché" d'Obama et de Wall Street!
Le Forum Social Mondial est intégré par les déchets du stalinisme qui venait de faire la plus grande trahison au prolétariat mondial quand il a livré les états ouvriers de l'URSS, de l'Est européen et de la Chine à la voracité de la restauration capitaliste. Ce fait lui a donné une survécue, une vraie injection de "sang frais" à ce système capitaliste impérialiste décadent et putréfié parce que cela a permis à l’économie mondial d’incorporer directement une main d’œuvre esclave et d'énormes ressources. L’Impérialisme a transformé et relocalisé ses entreprises en Chine, qui est réduite à l’esclavage et transformée en une authentique maquila avec une main d'œuvre bon marché, qui a fini par faire descendre le salaire et les conquêtes de la classe ouvrière mondiale. Des ouvriers esclaves: voila le "socialisme du XXIe siècle" des nouveaux mandarins rouges du PC Chinois! Le "socialisme du XXIe siècle" c’est les ouvriers libyens avec un salaire de 20 dollars mensuels dans les entreprises "socialistes" de Kadhafi! À bas le "socialisme de marché" d'Obama et de Wall Street! Pour la restauration de la dictature du prolétariat sous formes révolutionnaires en Russie, en Chine et les autres anciens états ouvriers!
Au milieu du marasme de la crise économique mondiale le castrisme, en faisant un pacte avec Obama, a livré le Cuba à Wall Street et aux "gusanos" de Miami. La gauche réformiste du FSM se refuse à appeler la classe ouvrière mondiale à battre la restauration capitaliste au Cuba parce qu’ils sont des laquais des restaurateurs : les frères Castre et leur pacte avec Obama. Ceux-ci licencient 1 million de travailleurs, liquident le monopole du commerce extérieur, détruisent l'économie nationalisée, garantissent la pénétration impérialiste et rétablissent le droit de propriété privée … et aussi le droit d’héritage. Ce sont les nouveaux riches du PC cubain en devenant bourgeoisie associés à l'impérialisme et aux "gusanos" de Miami qui avec leurs entreprises sont en train de retourner à l'île. Le castrisme avec son "socialisme du XXIe siècle" et "le socialisme par la route pacifique" conspire contre la révolution socialiste mondiale, parce que seulement en la battant il pourra terminer de livrer les conquêtes de la révolution cubaine à l'impérialisme de manière définitive.
La gauche réformiste dit défendre le Cuba en appelant à "lutter contre le blocage", quand le vrai et principal ennemi des conquêtes détruites de la révolution cubaine c’est les restaurateurs et leur pacte avec l'impérialisme. Pour cela la gauche étatsunienne s'agenouille devant Castro et jusqu'à de petits courants comme le PTS de l'Argentine reçoit des prix à La Havane pour ses travaux.
La classe ouvrière mondiale doit écraser la restauration capitaliste au Cuba menée par le castrisme, les nouveaux riches du PC et leur pacte avec Obama! Les conquêtes de la révolution cubaine se défendent avec le triomphe de la révolution socialiste aux États-Unis et dans tout le continent américain!
Pour une nouvelle révolution socialiste triomphante au Cuba qui exproprie l'impérialisme, les nouveaux riches du PCC et mette de nouveau l'île comme l’avant-garde de la révolution mondiale! Dehors le stalinisme de toutes les organisations ouvrières du monde!
Le 1er Mai : Un jour international de lutte pour la révolution ouvrière et socialiste mondiale sous les drapeaux de la IVe Internationale!
Ce 1er Mai, nous appelons les ouvriers du monde à tirer des leçons révolutionnaires sur qui et comment a livré nos luttes, nous appelons à regrouper les forces du prolétariat par dessus les frontières pour disperser les forces du réformisme et pour préparer une contre-offensive de masses qui reprenne le chemin révolutionnaire de 2011.
Les petits-fils des enfants des Martyrs de Chicago qui continuent aujourd'hui leur lutte ne se rendent pas. La flamme de la révolution est toujours vivante, les milliers de trahisons dans le dos n'ont pas encore pu l'éteindre. Dans chaque lutte et combat contre le capitalisme impérialiste, l'esprit des martyrs de Chicago parle et revit. Leurs décès doivent être vengés.
Dans l’avenir il n’y a pas "plus de démocratie", mais de nouveaux coups de la contre-révolution et plus de bonapartisme anti-ouvrier pour que les transnationales réalisent leurs superprofits. Si la révolution prolétarienne ne l'empêche pas, l'impérialisme décadent conduira la civilisation à de nouvelles guerres où ils peuvent faire des affaires pour sortir de leur crise. Les conditions de cette époque de crise, de guerres et de révolutions seront exacerbées et s’exacerbent tous les jours.
Les renégats du trotskisme, ont revécu le stalinisme décrépit qui a livré les anciens états ouvriers à l'impérialisme pour qu'il soit encore une fois le protagoniste des nouvelles trahisons à la révolution mondiale, comme nous avons vu en Grèce où le PC cassait la tête des jeunes et des travailleurs qui encerclaient le parlement des transnationales; en Chine où les nouveaux mandarins ont massacré toute levée ouvrière et paysanne; en Syrie où le PC kurde a fait un pacte avec Al Assad pour faire crever la résistance; au Chili les "flics en rouge" attaquaient les étudiants en lutte dans le dos pour ne donner que quelques exemples. Le prolétariat a besoin d'un programme à la hauteur de la guerre déclarée par les ennemis de classe. Il a besoin d'un état-major international à la hauteur des états-majors du réformisme et du capital financier pour non seulement leur présenter de la bataille, mais pour les battre.
C'est une tâche urgente des révolutionnaires et des ouvriers et des jeunes conscients, recomposer l'internationalisme prolétarien avec lequel la classe ouvrière s'est fondée et a lutté pendant des décennies et que les directions traîtres ont démoli.
"La IV° Internationale jouit dès maintenant de la haine méritée des staliniens, des sociaux-démocrates, des libéraux bourgeois et des fascistes. Elle n'a ni ne peut avoir place dans aucun des Fronts populaires. Elle s'oppose irréductiblement à tous les groupements politiques liés à la bourgeoisie. Sa tâche, c'est de renverser la domination du capital. Son but, c'est le socialisme. Sa méthode, c'est la révolution prolétarienne". Programme de Transition de la IVe Internationale, 1938.
La classe ouvrière mondiale n'a pas été battue, elle ne s'est pas rendue, ceux qui se sont rendus sont ses directions.
Pour préparer et pour organiser une contre-offensive révolutionnaire de masses pour conquérir la victoire, la tâche urgente est de refonder la IVe Internationale de 1938, le parti mondial de la révolution socialiste.
"… Sur votre verdict restera celui du peuple américain et celui du monde entier pour nous démontrer votre injustice et les injustices sociales qui nous portent à l'échafaud; restera le verdict populaire pour dire que la guerre sociale n'a pas terminé par si peu de chose." (Albert R. Parsons) •
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