Nous regrettons profondément la triste nouvelle que nous apprenons aujourd’hui : le décès de David Soria, ouvrier licencié de l’usine Paty et un grand combattant de la cause ouvrière argentine et mondiale.
Comme un hommage à David, nous rappelons ce que nous avons publié à la page 13 de notre livre La Syrie sous le Feu : la Résolution de l’assemblée ouvrière de l’usine Paty dont les travailleurs ont mené une campagne de soutien et de solidarité avec les travailleurs syriens qui résistent au massacre et au génocide commandés par le gouvernement Al-Assad.
Sa famille, ses amis et ses camarades de lutte pour le socialisme font le dernier hommage à un ouvrier internationaliste, celui dont se souviendront la résistance palestinienne et l’énorme frange de combattants de la classe ouvrière argentine. Et nous sommes sûrs qu’aujourd’hui se souviendront de lui les travailleurs et le peuple tourmenté qu’aujourd’hui à Idleb bloquent la route M4 pour combattre l’occupation russe, yankee, turque et des troupes fascistes d’Al Assad.
Il a vécu et il est mort en combattant pour que les travailleurs du monde prennent dans leurs mains la lutte des libres de la Syrie. Ceux-ci porteront sans aucun doute sa cause et son drapeau à la victoire.
Notre Maison d’édition a déjà perdu deux courageux révolutionnaires. Abu Al-Baraa, un combattant infatigable de la révolution syrienne et internationale, et aujourd’hui nous venons de perdre le porte-parole des travailleurs ouvriers révolutionnaires de la Syrie face aux travailleurs du monde entier.
Nous accompagnons la douleur de ses camarades en Argentine, en Syrie, en Afrique du Sud, aux États-Unis, en Grèce, au Japon et dans les cinq continents.
Nous espérons, avec notre Maison d’édition, contribuer à la cause des exploités et de la lutte pour le socialisme. Cela nous a unis à David Soria, notre camarade et collaborateur de notre Maison d’édition à qui nous rendons aujourd’hui le dernier hommage.
Eliza Funes pour le Conseil de la Maison d’Édition Socialiste Rudolph Klement
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