20 juin: Journée internationale de soutien aux prisonniers politiques iraniens
Solidarité de Daniel Ruiz, ancien prisonnier politique de l’Argentine et de sa sœur Carolina Daniel Ruiz du PSTU, ancien prisonnier politique de l’Argentine pour lutter contre la réforme de la retraite, a envoyé sa salutation et soutien à cette journée internationale de lutte pour la liberté des prisonniers iraniens.
"Ce 20 juin - JOURNÉE INTERNATIONALE DE SOUTIEN AUX PRISONNIERS POLITIQUES IRANIENS.
‘Toute réduction des droits et des libertés politiques, peu importe contre qui se dirigent à l’origine, ils finissent inévitablement pour retomber dans la classe ouvrière, surtout dans sa maxime expression sur les éléments avancés"
Aujourd’hui, nous célébrons une journée internationale pour la libération des prisonniers politiques iraniens.
Nous, les travailleurs et travailleuses, ne devons pas permettre que ceux qui se battent pour leurs idéaux et leurs droits, soient poursuivis et emprisonnés.
De l’Argentine, il a envoyé une salutation fraternelle et je demande de joindre nos efforts pour libérer tous les prisonniers politiques.
Liberté pour Sebastian Romero !
Liberté pour les prisonniers iraniens !
Liberté pour tous les prisonniers politiques du monde !"
De même, Carolina Ruiz, sœur de Daniel, a fait son message de solidarité:
"Je m’appelle Carolina Ruiz, je suis la sœur aînée de Daniel Ruiz, arrêté par la justice sous le gouvernement de Macri en 2018 pour une cause en 2017, où mon frère, comme beaucoup d’Argentins, s’est placé au pied du Congrès où des lois qui ne faisaient que nuire à l’ouvrier et au retraité se débattaient.
Alors que bien souvent, il a été une personne visible, il a été accusé de rébellion en première instance. Aujourd’hui, la couverture est moins véridique, mais il a passé 13 mois dans une prison de haute sécurité.
Sa libération a été possible, seulement par l’unité des travailleurs, le soutien des organisations nationales et internationales de défense des droits de l’homme et la lutte continue menée par nous et sa famille. Aujourd’hui, il est jugé. Mais son procès ne pourra pas continuer à cause de la pandémie mondiale que nous vivons. Son camarade de parti, SEBASTIAN ROMERO, EST DANS LA MEME SITUATION, IL EST EN PRISON.
Qui peut déterminer si nos droits doivent être annulés, qui peut faire taire les revendications, qui peut nous dire quoi penser et comment réagir à l’injustice ?
PERSONNE. ET LE CAPITALISME EST LE CRÉATEUR DE NOMBREUX MAUX QUE NOUS
SOUFFRONS AUJOURD’HUI ! ILS NE NOUS FERONT PAS TAIRE !
C’est pourquoi la lutte se poursuit pour la pleine liberté et l’acquittement total de toutes les charges dont mon frère est accusé et pour tous les travailleurs et travailleuses criminalisés pour lutter".